Coucou les filles !!!
Waouh ! Quel réconfort tous vos petits mots : ça fait chaud au coeur !!! Un grand merci à toutes !
NADINE, MARIE-CLAUDE, Merci de vos mails, mais je n'avais que ma tablette, avec laquelle je n'arrive pas à répondre....
Alors je me suis demandée ce que j'allais bien pouvoir vous montrer ou vous raconter... n'ayant pas de scrap pour le moment ????
Eh bien, pour aujourd'hui, j'ai choisi de vous raconter une HISTOIRE
J'ai toujours beaucoup lu sur l'irrationnel, le paranormal, l'inexplicable...car j'aimerai bien pouvoir tout expliquer...
Donc, je ne me souviens plus de quel livre, ni de quel auteur, mais cette histoire est bien arrivée, authentifiée par des témoignages et enquête de police.
D'ailleurs, elle avait tellement intrigué les échotier, qu'elle fut même rapportée à ALBERT EINSTEIN, lui-même, pour avoir son avis...
Nous sommes au début du XXI siècle, juste après la première guerre
mondiale...(Je me suis permis de changer noms et adresse, car je ne me rappelle plus de ceux de l'histoire)
"Plusieurs fois par semaine, AURÉLIEN, un jeune musicien, se rend au jardin des Tuileries, pour écrire sa musique, inspiré par le vol des oiseaux, des papillons, des bambins qui gambadent autour des bassins. Il s'est assis sur un banc, et compulse ses notes.....
Un monsieur d'un certain âge, avec redingote et chapeau haut de forme, vient s'assoir à l'autre bout du banc, et salue poliment le jeune homme....Voyant son carnet de musique il l'interroge :
- Vous faites de la musique jeune homme ?
- Oui monsieur, et je commence à composer, j'espère qu'un jour on jouera ma musique !
La conversation roule sur ce thème, un moment, puis, le vieux monsieur se lève en disant :
- S'il vous serait agréable de venir écouter de la musique, ce soir, chez moi, je réunis quelques amis...Ma fille joue merveilleusement du piano. 20 h vous conviendrait ? Lui demande-t-til en lui tendant sa carte de visite.
- Merci Monsieur, c'est très aimable à vous et bien entendu, je viendrai, assure AURÉLIEN
En regardant le vieil homme s'éloigner, le jeune homme s'amuse un peu de la tenue, désuète que porte ce charmant vieillard...Une mode qu'il se souvient d'avoir vu sur de vieilles gravures de mode chez sa grand-mère.
A l'heure dite, AURÉLIEN, se rend à l'adresse indiquée : 21, rue des vignes - premier étage, porte de gauche.
Il est accueilli par une charmante jeune femme, très souriante, aux yeux bleu profond. Monsieur De VILLARDIN, s'approche et le présente à la ronde. Des gens souriants l'entourent, tous vêtus à la même mode ancienne que son hôte.
La jeune femme, se met au piano et AURÉLIEN est médusé par le talent de la jeune fille, de son toucher délicat...On dirait que les touchent volent au dessus du piano !
On lui offre porto et petits biscuits. L'ambiance est très agréable...L'heure tourne... Voyant l'heure sur la pendule du salon, AURÉLIEN, se rappelle à la bienséance, salue aimablement tout le monde, remercie et quitte l'appartement.
Il descend l'escalier, plein de légèreté et de notes de musiques dans la tête..
Parvenu sur le trottoir, il ouvre son porte-cigarettes et cherche son briquet dans ses poches...
- Ca alors, je l'ai oublié là-haut, il faut que je remonte !
Arrivé sur le palier, il frappe à la porte : pas de réponse - il insiste plus fort : toujours rien !
Le jeune homme s'impatiente, tape de plus en plus fort, se disant que quelqu'un, à l'intérieur, va bien finir par l'entendre, d'autant qu'il n'entend pas le piano...ni aucun aucun bruit d'ailleurs...A part celui qu'il fait lui, et qui a eu raison du sommeil du voisin de palier....
Ce dernier ouvre sa porte, de forte méchante humeur et interpelle AURÉLIEN :
- Mais qu'est-ce que c'est que ce tintamarre, jeune homme, vous êtes fou, il n'y a personne, ce n'est as la peine de frapper à la porte !!!
- Mais si Monsieur, excusez-moi pour le bruit, mais je viens de passer la soirée chez Monsieur DE VILLARDIN, j'ai oublié mon briquet en or - c'est un cadeau de mon père
- Que me chantez-vous là espèce de drôle, le logement est vide depuis au moins vingt ans et je ne connais aucun VILLARDIN ! Ah mais je comprends, vous êtes là pour cambrioler sans doute...
Sur ce il appelle son fils à la rescousse :
- ANDRÉ, viens vite garder ce voleur, je descend chercher la police
Le jeune homme a beau tenter de s'expliquer, ANDRÉ est costaud et l'empêche de fuir...l'affaire prend des proportions....Un commissaire est requis sur les lieux. AURÉLIEN lui relate à nouveau les faits.
Le commissaire, voit un jeune homme raisonnable, bien élevé, pas le style d'un voleur et encore moins d'un fou. Le commissaire est très intrigué, et insiste auprès du voisin...celui-ci se souvient enfin, que le propriétaire a du lui laisser son adresse, sur un bout de papier, il y a des années....
Le commissaire, désirant la solution de cette histoire, plutôt curieuse, envoie deux policiers quérir le-dit propriétaire, qui habite à l'autre bout de PARIS.
Tout le monde attend....Enfin les policiers reviennent accompagnés du propriétaire, mal réveillé et de très mauvaise humeur, d'avoir été dérangé en pleine nuit pour de pareilles sornettes.
- Ouvrez la porte Monsieur s'il vous plaît
- Vous verrez qu'il n'y a personne, j'i hérité de cet appartement, il y a plus de vingt cinq ans, de ma grand tente, MARIE DE VILLARDIN...Je n'y suis jamais revenu, ni personne d'autre, tout est resté en l'état - répond le propriétaire en grommelant...
La porte est ouverte, le commissaire et AURÉLIEN s'avancent, curieux. Un silence total règne sur l'ensemble poussiéreux des meubles, du paquet....Pas une trace de vie. Les deux hommes se regardent, surpris...Nul doute doute, personne n'a pu pénétrer ici depuis bien longtemps....AURÉLIEN se prend à douter, ne sachant plus s'il a rêve ou s'il perd l tête...Mais soudain, son regard accroche les rayons du soleil qui font étrangement briller un objet posé sur le bras d'un fauteuil :
- commissaire, mon briquet, c'est mon briquet !
Ils se précipitent tous deux vers l'objet, laissant sur le parquet les traces de leurs pas, alors qu'il n'y en avait aucune, juste avant leur entrée !!!
- Voyez commissaire, il y a mes initiales : A. L - Aurélien LAVIGNE "
Voilà ce qu'en a dit ALBERT EINSTEIN :
"ce jeune a sans doute traversé la 4è dimension, comme si il avait raté une marche d'escalier."
Entre celle d'en dessous, et celle du dessus, il se passe un temps que ce jeune homme a peut-être pénétré....Sans tout prendre au pied de la mettre, il est certain qu'on ne peut tout expliquer par le rationnel.....
J'espère que cette histoire vous a plu, interpellées ??? Merci de me dire ce que vous en pensez.......
Excellente soirée à vous
bisous
Nounoumade 11/05/2020 20:49
Nette 02/05/2020 11:03
Maria Rossi 26/04/2020 08:50
crisitane 26/04/2020 05:34
nickie 25/04/2020 19:59
Golondrina63Auv 25/04/2020 19:15
lamanuelle 25/04/2020 18:19